Génial... !

Et voila une belle journée ensoleillée qui se levait sur New-York. C'était un Mercredi. Le matin-meme, Aaron fut réveillé par les rayons du soleil qui traversait sa fenetre. Ce devait etre 6h15, trop tot pour un gars comme Aaron. Alors, il s'était levé du lit et avait tappé de partout, et avait jeté un coussin sur Jack qui ronflait. Du coup, il l'avait réveillé. Mais vu que c'était le matin, Jack qu'il se 'létait envoyé tout seul dans son sommeil.
Bref, Aaron avait donc pris sa douche et s'était habillé, pour ensuite descendre dans les jardins de l'enceinte du lycée. En attendant l'heure d'aller en cours.
La matinée passa vite, et il était temps de s'organiser une après-midi. Aaron avait le choix, passer son après-midi à monter Silver, ou bien aller en ville et faire du shopping. et puis finalement il décida d'aller faire du shopping. Il lui fallait des jeans et des chemises. Il prit donc sa Ferrari, les Ray-Ban sur le nez et les clés à la main, puis se dirigea vers le centre ville de New-York. Il avait l'habitude de faire le shopping dans les rues commerçantes, mais cette fois-ci, il avait envi d'aller voir un peu dans le centre commercial voir s'il trouvait son bonheur. Il gara sa voiture dans le parking souterrain puis sortit de sa voiture, claquant la porte et refermant à clé en appuyant sur un seul bouton de sa clé.
Il monta alors au premier étage du centre commercial et leva d'un geste de la main ses lunettes de soleil. Les filles poussèrent des petits soupirs de fascination sur son passage. Il avait l'habitude. Il fit donc mine de ne rien entendre et il tourna pour rentrer dans un magasin. Mais il n'avait pas vu qu'il y avait écrit "Louis Vuitton". Et donc, il tomba sur un magasin rempli de sacs. Il fronça les sourcils en regardant tout autour de lui, et fit un pas en arrière lorsqu'il entendit la voix de Lilly Abrams. Il tourna la tete, la cherchant du regard. Tous les gérants du amgasin étaient à ses cotés, la conseillant sur quel sac allait bien avec sa tenue, ou autre. Et elle avait emmené bien sur son petit caniche de pacotille! Aaron avait des pulsions de lui fouttre un coup de pied et de l'envoler jusqu'à Tokyo.
Il posa son regard sur la jeune blonde en croisant les bras. Et puis, après tout, pourquoi n'offrirait-il pas un sac à sa mère??

Lilly avait passé une mâtiné assez ennuyante. Elle s'était tapé deux heures de maths, une heure de physique et pour finir une heure de ... séchage de cours. A la base elle devait avoir français, mais ça la soûlée trop. Lilly savait déjà parler le français couramment. Quand elle était petite son père lui avait payé des cours particuliers. De plus elle était déjà partie en voyage d'affaires avec son père. Enfin bref Lilly avait déjà prévu son après-midi. Une journée shopping, enfin à la base elle devait s'acheter un nouveau sac. Elle en avait parlé a beaucoup de personnes mais personne ne pouvait l'accompagner à part Madysson, mais plus tard dans la journée.

Après le repas elle retrouva les deux gardes du corps que son père lui avait collé d'office. Elle n'avait pas tellement envie d'être suivi par ces deux gros personnage, mais quoi qu'elle leur dise pour eux les ordres étaient les ordres. Elle partie en direction de la limousine qui l'attendait devant le lycée. C'était une belle limousine blanche sans aucune égratignure aucune tâche. Elle posa ses lunettes de soleil sur son nez puis entra dans la belle voiture.

Une fois arrivée devant le centre commercial elle eu un petit sourire. A vrai dire ici Lilly pouvait être au naturel. En général Lilly crie tout le temps et elle fait sa capricieuse, mais cela n'a rien avoir avec la vrai Lilly. Au fond c'était une jeune fille comme les autres. Aujourd'hui elle aurait bien aimé se fondre dans la masse, mais les deux steaks derrière l'en empêche. Quand elle arriva devant sa boutique préférer elle s'arrêta trois secondes avec un grand sourire au lèvre. On aurait dit un enfant devant une glace à la vanille. Dès son premier pas dans le magasin les vendeurs se jeta sur elle. Elle alla s'installer sur un fauteuil au milieu du magasin et attendit les modèles de sac. Ils étaient tous aussi beau, mais Lilly avait décidé d'être raisonnable aujourd'hui et d'en acheter qu'un ou deux maximum.

Lilly donnait son avis sur chacun des sacs proposait, mais elle fut interrompue quand Aaron rentra dans la boutique. Elle garda son petit sourire au lèvre tout en le regardant. Elle se demandait ce qu'il faisait ici. Voir un mec avec un Louis Vuitton on en voyait, mais bon elle ne l'avait jamais vu avec un sac de cette marque de plus il regardait des sacs de filles. Lilly soupira puis compris que c'était pour une de ses fameuses conquête. Elle se concentra à nouveau sur les sacs puis exigea d'avoir celui qui était en vitrine. Une fois qu'elle l'avait dans les mains elle se leva de son fauteuil pour se mettre devant la glace. Elle regardait s'il allait avec sa tenue. Elle n'était pas très satisfaite alors elle en demanda un autre et ainsi dessuite tout en jetant des petits coups d'oeil discret à Aaron.

Aaron faisait mine de s'intéresser aux sacs autour de lui. Non mais enfait, il l'était vraiment. Au départ, il n'avait pas lintention de prendre un cadeau à sa chère mère, mais puisqu'il est là, pourquoi pas?
Il continua d'avancer dans le magain tout en évitant Lilly du regard, parce qu'il savait que s'il posait son regard sur elle, tot ou tard, ça allait finir par dégénérer entre les deux. C'est pourquoi il alla vers le fond de la boutique, regarder la nouvelle collection. Aaron et les sacs, ça fait 50. Il avait déjà offert un sac Longchamps à sa mère, mais sans sucés. Elle avait dit à Aaron qu'il était trop petit, une mauvaise texture et une forme déplaisante. Donc, forcément, Aaronallait prendre tout le contraire de fichu sac longchamps qu'il lui avait offert. Trop petit.. Il n'était pas si petit que ça quand meme.. Peut-etre aurait-elle préféré une valise pour un de ses nombreux voyages à l'étranger?
Oh et puis non, Aaron aimait emmerder les gens, meme sa mère, alors il regarda parmis les sacs de taille normal, mais petits pour sa mère. Lorsque soudain.. Il sentit quelque chose à ses pieds. Il baissa la tete et vit le chien de Lilly. Aaron avait horreur des clebs! Le chien lui reniflait les pieds. Aaron tappa alors du pied au sol puis lança

_Tu vas me lacher toi? Retourne voir ta... Ta maitresse..?!

Maitresse... Quel pervers cet Aaron. Ce mot déclancha quelque chose dans sa tete, mais rien de grave, c'était normal chez Aaron.
Les gérants, ainsi que Lilly, tournèrent la tete vers Aaron qui se sentit soudain gené. Il craignait vraiment que le chien lui pisse sur les pieds. En tout cas, si ça arriverait, Lilly n'aurait plus de chien. Aaron le jetterai par la fenetre, et bon débarras. Plus de chien encombrant.
Le chien commença alors à grogner. Aaron fit de gros yeux en regardant le chien, puis il lança à Lilly, en haussant le ton

_Débarasse moi de ton truc ambulant, s'il te plait!

Lilly était toujours avec ses sacs a main jusqu'à que son petit chien parte vers Aaron. Elle soupira il manquait plus que ça. Elle se retourna vers lui quand elle entendit les réflexions qu'il faisait envers Maya - Dédicasse à ma chienne - Elle lui lança un regard noir et soupira. Du coup tout le monde se retourna vers lui, même ses gardes du corps qui le regardaient de haut. Lilly avait peur qu'il fasse du mal à son chien, rien cas voir la tête qu'il faisait on voyait très bien que c'etait pas sa tasse de café. Pour éviter tout meurtre - parce que s'il touchait à son chien Lilly le tuer - elle s'accroupit et l'appela

Maya ! ... Elle aurait du te mordre !

Lilly avait de la sympathie pour les gens que quand elle en avait envie, mais pour les chefs de confrérie c'était presque jamais. En voyant que sa chienne ne revenait pas Lilly fronça les sourcils et la rappela encore une fois, mais celle-ci aimé bien Aaron. Elle n'arrêtait pas de lui sauter dessus. Elle se redressa et s'apprêta à aller la chercher, mais un de ses gardes du corps l'en empêcha. D'un pas sur et fort il alla chercher Maya tout en faisant comprendre à Aaron qu'il ne devait pas trop s'approcher de Lilly s'il ne voulait pas avoir de problème.

Tenez Mlle Abrams !

Ajouta gentiment la grande personne qui se trouva en face d'elle. Elle prit Maya dans ses bras et regarda à nouveau Aaron. Il avait l'air dégouté par son chien et certainement choqué par les gardes du corps de celle-ci. Elle fit une caresse à sa chienne puis releva le regard vers Aaron qui avait son sac dans la main. Elle eu un léger rire puis ajouta un peu moqueuse

Ce sac ne te va pas vraiment

Yeeaaah! Un garde du corps! Non, deux! Aaron ne les avait meme pas vus, et pourtant, on ne voyait qu'eux. Vetus de costard noir, mesuant au minimum 2m, et faisant 1m. de large. Aaron était aveugle, mesdames et messieurs.
Au départ, quand il vit que Lilly avait assez de mal à faire revenir sa chienne vers elle, il eut un léger rire qui faisait tout son charme. Mais rien à faire: Maya ne revenait pas vers Lilly. C'est alors que Lilly lança "Elle aurait du te mordre". Choqué, Aaron regarda la blonde en question puis lui lança

_Ton caniche, mordre? Tu veux rire j'espère?! Un chien comme ça je le prends pour faire beau, pas pour défendre.

Aaron s'appreta à se baisser pour rammener la bestiole à sa maitresse mais il vit arriver un hippopothame vers lui. Aaron se releva alors en regardant le garde du corps qui était assez impressionant, il fallait le dire. Il prit la chienne de sa grosse main gauche. Aaron avait peur pour la chienne, pauvre petite. Il regarda le garde du corps faire demi-tour, puis regarda Lilly une seconde qui lui lançait des regards noirs. Sur le coup, quand Aaron avait vu arriver vers lui le garde du corps, il croyait qu'il venait pour lui mettre un taquet et l'allonger, mais non.
Aaron se retourna alors, re-gagnant ses occupations. Chercher un sac. Il en trouva un, sur lequel il avaitflashé. Il l'atrappa alors sans mal car il était en hauteur, et Aaron était grand. Mais Lilly ouvrit encore sa bouche pour faire une remarque. Agacé, Aaron poussa un soupir puis la regarda d'un mauvais oeil. Il lui fit, ironiquement

_Merde, depuis quand t'as du gout toi?

Aaron eut un petit rire, puis regarda les gardes du corps qui le menaçaient du regard. Aaron arreta de rire mais il gardait son sourire narquois sur les lèvres. Il lança alors

_On fait ça toute la journée, juste au cas ou tu le savais pas.

Lilly regarda alors Aaron qui sous-estimé sa chienne il faut le dire ! Maya était bien dresser et quand elle mordait c’était pas pour faire semblant. Les petits chiens sont même plus hargneux que les grands. Bon c’est vrai que Maya n’était pas très impressionnante, elle n’avait même jamais mordu personne mais bon Lilly avait tenté le coup pour le coup comme on dit ^^. Il faut le dire Aaron avait raison mais Lilly n’avait pas forcement envie de lui avouer. Elle le regarda puis soupira gentiment avant de répondre dans le genre « je m’en foutiste »

" D’abord ce n’est pas un caniche ! Puis elle peut être très méchante quand elle veut ! "

Lilly avait un mauvais souvenir sur ce sujet. La seul fois ou elle l’a vu s’attaquer à quelqu’un c’était contre un chien plus grand que lui et encore celui-ci était bien esquinté. Certainement qu’ils devaient lui aiguisé les dents au centre de toilettage. Elle reprit Maya dans ses bras sans quitter Aaron des yeux. Il avait le don de choisir le sac le plus moche de toute la boutique. Eh oui c’était peut être sa marque préféré mais quand c’était laid elle l’avouait. Elle le regarda de haut quand il lui demanda depuis quand elle avait du gout. Elle pencha alors légèrement la tête puis ajouta

" Depuis que j’ai plus le même styliste que toi ! "

Elle le regarda une dernière fois avant de se retourner. Oui c’est vrai ils faisaient tous ça a longueur de journée mais a un moment Lilly en avait marre. A la base elle devait passer une journée tranquillou tranquillette avec Madysson, mais non dieu n’avait pas vu ça comme ça, il préférait voir Lilly et Aaron se prendre la tête. Mais même dieu n’avait plus aucun pouvoir sur la jeune fille. Si elle avait décidé de laisser tomber eh bien elle laisserait tomber. Elle se remit sur son petit fauteuil et demanda a ce qu’on lui amène la nouvelle collection, c'est-à-dire celle que regardait Aaron

Aaron se retourna puis posa finalement le sac qu'il avait dans les mains. Oui oui, tout de meme, il écoutait les conseils de Lilly. Il était laid, il était laid. Prenons-en un autre. Il alla vers l'autre coté du magasin, à gauche, et y trouva un sac un peu plus gros, à boule. Il le regarda de tous les cotés lorsque Lilly lui répondit.
Alors.. Il en s'agissait pas d'un caniche. Bon ok. Aaron et les chiens aussi ça faisaient 2243 alors bon vous étonnez pas s'il est pas capable de différencier un York Shire d'un caniche. Il en répondit pas à cette remarque car ça à la limite c'était gentil elle rectifiait juste l'erreur d'Aaron. Mais la feinte qui suivit fut bien plus... Surprenante!
Aaron soupira en laissant tomber le sac par terre puis se retourna vers Lilly, désespérément. Il fronça les sourcils, en levant sa main droite comme si Lilly ne comprenait rien de rien. Il lançait alors à la jeune blonde

_Mais.. J'ai jamais eu de styliste moi. J'me suis toujours habillé seul, poupée.

Aaron lui fit un clin d'oeil charmeur puis, ça y est, c'était décidé, il alla à la caisse pour prendre ce sac là qui coutait vers les 700$. Ce devait etre le moins cher de tous mais comme ça, sa mère serait contente et en plus de ça elle verrait que son fils pense à elle, meme à l'autre bout de la Terre.
La caissière lui prit alors le sac et il demanda un paquet cadeau. Elle lui fit, puis il passa sa carte à l'appareil et tappa son code.
Il retira la carte et sortit du magain, sachet à la main. Il s'arreta devant Lilly et son chien puis lui dit, en souriant

_Je préférais l'autre sac. Après tu fais c'que tu veux.

Depuis quand Aaron était gentil avec Lilly Abrams?!! C'était bien la première fois... C'est pourquoi il pressa le pas en sortant du magasin.

Ca Lilly l’avait remarqué qu’il n’avait pas de styliste. Elle avait envie de lui faire une remarque genre oui vu ton style j’avais remarqué mais elle s’en empêcha toujours dans sa lute contre Dieu qui voulait lui pourrir la journée. Elle respira un bon coup et continua a contemplé ses sacs, puis autre chose. Elle regardait Aaron qui était en trin de payé, la curiosité l’avait emporté et elle voulait savoir quel sac il avait choisi. Celui-ci était assez gros et il faut l’avouer très beau, elle aurait bien mis dans sa collection de sac mais Aaron l’avait devancé. Ce n’est pas grave elle garda sa bonne humeur et prit deux sacs aussi beau l’un que l’autre. Alors qu’elle allait passer en caisse elle aussi Aaron se pointa devant elle est son chien pour lui dire qu’il préférait le sac qu’il avait choisi avant c’est alors qu’elle comprit qu’il avait suivit ses conseils et il avait bien raison car niveaux sac elle s’y connaissait très bien, celui qu’il venait d’acheter était a la fois beau a la fois pratique le bonheur a l’état pour n’importe quel femme. Elle le regarda partir trop fier de lui et d’un coup une espèce de haine monta en elle. Elle posa ses sacs sur le comptoir en se répétant qu’elle n’allait pas pourrir sa journée pour lui. Elle se dirigea vers le gérant du magasin et lui donna 1 000 $ en le persuadant que le jeune homme qui venait de partir n’avait pas payé ce sac qu’en gros il l’avait volé. Il lui assura qu’il allait s’en charger mais Lilly fier d’elle lui demanda de lui laisser ce plaisir la ce qui lui accorda quand il vit une autre liasse de billet après tout c’était la fille du président. Elle demanda a ses gardes du corps d’allé le cherché ce qu’ils firent immédiatement. Lilly se retourna vers la vendeuse afin de connaître le prix de ses achats. Parie réussis elle n’avait pas dépassé les 3 000 $. Elle souria toute fier d’elle et inséra sa carte bancaire dans le boitier, après quelque seconde Aaron fut ramené dans le magasin en trin de se plaindre. Elle resta dos tournée a lui et elle se mit sourire diaboliquement. Elle composa son code et retira sa carte. Une fois fait elle récupéra ses sacs qui étaient bien placé dans le sachet Louis Vuitton et se retourna enfin vers Aaron avec une tête faussement triste tandis que le directeur se dirigeait vers lui pour lui demander des explications. Sur ce Lilly sortit du magasin en souriant. Il était temps qu’elle parte pour son rendez-vous et si elle ne voulait pas arriver en retard elle n’avait pas intérêt de s’arrêter dans d’autres boutiques.